Afin de lutter contre les inégalités salariales entre les femmes et les hommes, l'article L. 1142-8 du code du travail rend obligatoire pour toutes les entreprises d'au moins 50 salariés de calculer leur index égalité femmes-hommes, sur 100.
La note globale doit ensuite être publiée au plus tard le 1 mars de chaque année. Gide a donc procédé à cette analyse s'agissant de sa population salariée, pour la troisième année.
Les indicateurs couvrent l'écart de rémunération entre les femmes et les hommes, l'écart de taux d'augmentations individuelle de salaire entre les femmes et les hommes, le pourcentage de salariées ayant bénéficié d'une augmentation dans l'année de leur retour de congé maternité et le nombre de salariés du sexe sous-représenté parmi les dix salariés ayant perçu les plus hautes rémunérations. Des notes de 100 indiquent une égalité parfaite hommes-femmes.
Pour l'année 2021, notre note est de 83 sur 100, avec :
écart de rémunération : 33 sur 40
écarts d'augmentations individuelles : 25 sur 35
pourcentage de salariées augmentées au retour d'un congé maternité : 15 sur 15
nombre de salariés du sexe sous-représenté parmi les 10 plus hautes rémunérations : 10 sur 10